Mes combats contre
l'extrême droite
La montée de l'extrême droite en France et dans l'Union européenne est devenue une menace préoccupante pour nos démocraties. À travers des discours simplistes, racistes et protectionnistes, elle cherche à diviser les citoyens et à fragiliser les valeurs de solidarité et de liberté qui sont au cœur de nos sociétés. Face à cette dérive, les forces progressistes, notamment les sociaux-démocrates, ont un rôle crucial à jouer. Il est urgent de proposer des solutions concrètes pour lutter contre cette vague nationaliste tout en respectant les aspirations légitimes des populations concernées.
La montée de l'extrême droite en France et dans l'Union européenne est devenue une menace préoccupante pour nos démocraties. À travers des discours simplistes, racistes et protectionnistes, elle cherche à diviser les citoyens et à fragiliser les valeurs de solidarité et de liberté qui sont au cœur de nos sociétés. Face à cette dérive, les forces progressistes, notamment les sociaux-démocrates, ont un rôle crucial à jouer. Il est urgent de proposer des solutions concrètes pour lutter contre cette vague nationaliste tout en respectant les aspirations légitimes des populations concernées.
L'extrême droite en France & en Europe :
une régression démocratique
L'extrême droite en Europe, qu'il s'agisse du Rassemblement National en France ou d'autres mouvements similaires dans l'Union européenne, exploite et amplifie les peurs et les frustrations liées à la mondialisation ou à l’immigration.
Ses discours simplifient les causes des inégalités économiques en blâmant systématiquement les étrangers, créant ainsi un climat de méfiance et de haine.
En France, cela s'est traduit par une montée des violences verbales et physiques à l'encontre des minorités.
À l'échelle européenne, certains pays ont adopté des politiques répressives, remettant en cause les principes fondamentaux des droits de l’Homme.
Ces dynamiques créent un cercle vicieux où la peur est instrumentalisée pour justifier des politiques illibérales et anti-démocratiques.
L'extrême droite en Europe, qu'il s'agisse du Rassemblement National en France ou d'autres mouvements similaires dans l'Union européenne, exploite et amplifie les peurs et les frustrations liées à la mondialisation ou à l’immigration.
Ses discours simplifient les causes des inégalités économiques en blâmant systématiquement les étrangers, créant ainsi un climat de méfiance et de haine.
En France, cela s'est traduit par une montée des violences verbales et physiques à l'encontre des minorités.
À l'échelle européenne, certains pays ont adopté des politiques répressives, remettant en cause les principes fondamentaux des droits de l’Homme.
Ces dynamiques créent un cercle vicieux où la peur est instrumentalisée pour justifier des politiques illibérales et anti-démocratiques.
Retrouvez ma série de vidéos sur l'extrême droite
Régulièrement je vous tiens informé de la montée de l'extrême droite en Europe et de ses conséquences en France et au Parlement européen. Ces vidéos sont à retrouver sur mes réseaux sociaux :
Un cordon sanitaire
en pleine rupture
Alors qu'au Parlement européen les députés d'extrême droite "n'étaient que" 127 lors du précédent mandat, ils sont désormais 187.
En France, à la faveur des élections législatives anticipées, le groupe du RN à l'Assemblée Nationale est passé de 89 à 122 députés.
Cette forte augmentation du nombre de députés d'extrême droite tente de plus en plus la droite traditionnelle à s'allier avec eux en rompant ainsi la désormais fragile tradition du "cordon sanitaire".
Au Parlement européen, le groupe dans lequel siègent les députés LR, le PPE, ne cesse de construire des alliances de circonstances avec les groupes eurosceptiques de Meloni, Orban ou de l'extrême droite allemande. Cette dérive, purement électoraliste, de la droite traditionnelle est dangereuse puisqu'elle tend à fragiliser le camp des progressistes qui œuvrent pour la construction de compromis en Europe.
En France, le soutien sans participation du RN au Gouvernement Barnier place l'extrême droite au centre du pouvoir. Même si Jordan Bardella ou Marine Le Pen ne sont pas à Matignon ou à l'Élysée, ils imposent leurs priorités et leurs mesures visant à bâtir une France xénophobe et profitable aux plus riches.
Le rôle des sociaux-démocrates
face à l'extrême droite
Cette montée en puissance généralisée de l'extrême droite en Europe illustre l'échec des politiques menées par les sociaux-démocrates ces dernières années.
Désormais, charge à nous de reconstruire, en France comme en Europe, une ligne modérée qui ne cède ni au fascisme ni aux appels du pied du populisme d'extrême gauche.
Ensemble nous devons construire un récit positif autour de propositions d'actions concrètes pour répondre aux réelles préoccupations des Français et des Européens.
C'est en travaillant sur une transition écologique juste, qui ne laisse personne de côté, sur la réindustrialisation de la France et de l'Europe pour lutter contre le chômage et bâtir une véritable autonomie stratégique, ou encore sur une politique migratoire partenariale qui garantie notre sécurité et le respect des droits humains que nous arriverons à reconquérir celles et ceux qui ont cédé aux extrêmes.
C'est le sens de mon engagement au Parlement européen.
Cette montée en puissance généralisée de l'extrême droite en Europe illustre l'échec des politiques menées par les sociaux-démocrates ces dernières années.
Désormais, charge à nous de reconstruire, en France comme en Europe, une ligne modérée qui ne cède ni au fascisme ni aux appels du pied du populisme d'extrême gauche.
Ensemble nous devons construire un récit positif autour de propositions d'actions concrètes pour répondre aux réelles préoccupations des Français et des Européens.
C'est en travaillant sur une transition écologique juste, qui ne laisse personne de côté, sur la réindustrialisation de la France et de l'Europe pour lutter contre le chômage et bâtir une véritable autonomie stratégique, ou encore sur une politique migratoire partenariale qui garantie notre sécurité et le respect des droits humains que nous arriverons à reconquérir celles et ceux qui ont cédé aux extrêmes.
C'est le sens de mon engagement au Parlement européen.