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Mes combats pour les transports 

de demain

Les Européens ont le droit à des transports accessibles, de qualité, et propres. En tant que membre titulaire de la commission parlementaire “Transports et Tourisme” (TRAN), je me
bats pour construire les transports de demain.

La politique européenne des transports doit être souveraine, sociale, et neutre en carbone. Face aux profondes transformations de l’industrie, je défendrai les intérêts de ses travailleurs et des citoyens.

Les Européens ont le droit à des transports accessibles, de qualité, et propres. En tant que membre titulaire de la commission parlementaire “Transports et Tourisme” (TRAN), je me bats pour construire les transports de demain.​
La politique européenne des transports doit être souveraine, sociale, et neutre en carbone. Face aux profondes transformations de l’industrie, je défendrai les intérêts de ses travailleurs et des citoyens.

Pour une politique industrielle 
souveraine et compétitive

Malgré la concurrence chinoise et américaine, nous devons lutter contre le naufrage industriel. Le futur des fleurons français et européens de nos quotidiens, comme Airbus ou le TGV, est fragile. Le secteur européen de l'automobile risque de péricliter, alors même qu’il emploie 14 millions de personnes. 

Il faut soutenir ces entreprises politiquement et économiquement.


Je travaillerai pour créer une politique du “Made in Europe”, où nos voitures, nos trains, nos navires et nos avions, seront produits et assemblés majoritairement dans le marché unique.

Grâce à un Buy European Act, que je défendrai, la puissance publique pourra réserver une certaine part de la commande publique aux entreprises européennes du transport.


Je défendrai les intérêts souverains de la France et de l’Europe. Nous devons reconnaître les transports comme un secteur stratégique et les protéger, notamment face aux investissements étrangers. 

Malgré la concurrence chinoise et américaine, nous devons lutter contre le naufrage industriel. Le futur des fleurons français et européens de nos quotidiens, comme Airbus ou le TGV, est fragile. Le secteur européen de l'automobile risque de péricliter, alors même qu’il emploie 14 millions de personnes. 

Il faut soutenir ces entreprises politiquement et économiquement.


Je travaillerai pour créer une politique du “Made in Europe”, où nos voitures, nos trains, nos navires et nos avions, seront produits et assemblés majoritairement dans le marché unique.

Grâce à un Buy European Act, que je défendrai, la puissance publique pourra réserver une certaine part de la commande publique aux entreprises européennes du transport.


Je défendrai les intérêts souverains de la France et de l’Europe. Nous devons reconnaître les transports comme un secteur stratégique et les protéger, notamment face aux investissements étrangers. 

Pour une politique sociale au service 
des travailleurs et des ménages

Face aux défis posés par la transition écologique, je m’engage à défendre les droits des travailleurs des transports, menacés par les délocalisations et la désindustrialisation. Les restructurations industrielles fragilisent des millions d’emplois, notamment dans l’automobile et le ferroviaire.

Lors de mes rencontres régulières avec les syndicats, je constate les inquiétudes sur les conditions de travail et la sécurité de l’emploi. C’est pourquoi je soutiens fermement une meilleure protection des travailleurs et une amélioration de leurs conditions de travail. Il est indispensable de garantir la sécurité et la dignité des salariés du secteur tout au long de cette transition.

La mobilité doit aussi rester accessible à tous, en ville comme dans les zones rurales, afin que chacun puisse bénéficier des mêmes opportunités.

Je militerai pour une tarification sociale des transports, financée par le Fonds social pour le climat, afin d’alléger la charge pour les ménages modestes. Cela permettra à chaque citoyen de profiter d’un accès égal aux services de transport. Enfin, je veillerai à ce que l’offre de transport lutte contre les inégalités territoriales et soit accessible à tous, notamment aux personnes en situation de handicap, pour une mobilité véritablement inclusive.

Pour une politique environnementale 
ambitieuse

La lutte contre le changement climatique exige une transformation profonde de notre politique des transports. Il s'agit du seul grand secteur économique dont les émissions carbones ont augmenté depuis 1990.

Le Pacte Vert et les objectifs fixés à 2030 doivent être au cœur de cette transition. Je soutiens une réforme ambitieuse du marché européen du carbone, pour que les entreprises du secteur des transports soient pleinement engagées dans la réduction de leurs émissions. L'extension de la taxe carbone aux frontières, appliquée aux produits manufacturés, permettra également de protéger nos industries tout en incitant à des pratiques plus respectueuses de l’environnement.

Le secteur des transports doit se réinventer, notamment en promouvant les carburants alternatifs pour le maritime et l’aérien, secteurs parmi les plus polluants. L’électrification des modes de transport, qu’il s’agisse de voitures, de trains ou de bus, est un impératif pour réduire notre dépendance aux énergies fossiles.

En parallèle, nous devons aussi travailler à la réduction du trafic, en développant des infrastructures de transports collectifs efficaces et accessibles.
La lutte contre la pollution est une urgence pour la santé publique et l'environnement. Il est essentiel de soutenir les villes et régions dans leurs efforts pour réduire la pollution de l’air, notamment en promouvant des solutions de mobilité propres et durables.

La lutte contre le changement climatique exige une transformation profonde de notre politique des transports. Il s'agit du seul grand secteur économique dont les émissions carbones ont augmenté depuis 1990.

Le Pacte Vert et les objectifs fixés à 2030 doivent être au cœur de cette transition. Je soutiens une réforme ambitieuse du marché européen du carbone, pour que les entreprises du secteur des transports soient pleinement engagées dans la réduction de leurs émissions. L'extension de la taxe carbone aux frontières, appliquée aux produits manufacturés, permettra également de protéger nos industries tout en incitant à des pratiques plus respectueuses de l’environnement.

Le secteur des transports doit se réinventer, notamment en promouvant les carburants alternatifs pour le maritime et l’aérien, secteurs parmi les plus polluants. L’électrification des modes de transport, qu’il s’agisse de voitures, de trains ou de bus, est un impératif pour réduire notre dépendance aux énergies fossiles.

En parallèle, nous devons aussi travailler à la réduction du trafic, en développant des infrastructures de transports collectifs efficaces et accessibles.
La lutte contre la pollution est une urgence pour la santé publique et l'environnement. Il est essentiel de soutenir les villes et régions dans leurs efforts pour réduire la pollution de l’air, notamment en promouvant des solutions de mobilité propres et durables.